Laissez-vous toucher par des histoires inspirantes racontées par des personnes proches de notre fondation.
Patricia Fitzmaurice
À l’hôpital, on m’avait remis de la documentation variée sur le cancer et les ressources disponibles. Un des services de la Fondation québécoise du cancer a capté mon attention : le prêt de prothèses capillaires.
Je suis devenue bénévole de la Fondation québécoise du cancer en Estrie par hasard. Il y a un peu plus de 10 ans, une annonce parue dans le journal local a capté mon attention.
Alors que ma conjointe était traitée pour un cancer du sein à l'hôpital, elle s'est liée d'amitié avec une autre femme dont le mari était un courtier en assurance. C'est lui qui m'a fait connaître le don par assurance vie.
Même si je suis très occupée en tant que maman de cinq enfants et propriétaire d’une entreprise de signalisation, il est bien important pour moi de m’impliquer et de faire une différence dans ma communauté.
Apprendre, à 35 ans, qu’on a un lymphome non-hodgchinien diffus à grandes cellules B au niveau du côlon, et ce, moins d’un mois après avoir fêté les deux ans de son enfant est tout simplement une aberration de la vie!
C’est donc depuis 2011 que j’offre, une fois par mois, les déjeuners pour un groupe de 12 à 25 personnes. Je prends un grand plaisir à passer des heures à préparer avec soin tous les mets qui seront servis.
Pour recevoir mes 38 traitements de radiothérapie échelonnés sur huit semaines, je me suis rendu au Centre régional et Hôtellerie de Sherbrooke de la Fondation québécoise du cancer.
Beaucoup de personnes ont le cancer et peuvent se sentir véritablement démunies face à cette difficile épreuve à surmonter. Il est donc devenu primordial pour moi de sensibiliser le plus grand nombre à l’existence de la Fondation québécoise du cancer.
J’ai accompagné souvent mon épouse au centre de Québec de la Fondation québécoise du cancer. Étant atteinte d’un cancer, elle a bénéficié des nombreux services de soutien qui y sont offerts.
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